Nous avons trois grands domaines, nous confie Jean Marc Bally, la digitalenergy, la connecting mobility et ressources. Nous sommes attentifs à tout ce qui tourne autour de ces grandes évolutions qui touchent les marchés de l’énergie et de l’environnement, que ça soit la digitalisation, la génération de Datas et la décentralisation.
Aster Capital à été créé en juin 2000, en plein cœur de la bulle internet. Nous sommes parvenus à passer les vagues de hausses et de baisses, liées à cette bulle internet que tout le monde a connu, et par la suite traverser les différentes crises. A ce jour nous avons développé notre activité avec du trans-géographique élargie, actuellement nous avons des bureaux à San-Francisco, à Paris, à Tel Aviv, et deux équipes qui sont à Nairobi et en Chine.
Ce qui fait la force d’Aster, nous dit Monsieur Bally, c’est notre activité interne à Aster, que nous appelons « Business Boost » qui est une activité de business développement pour les sociétés de nos portefeuilles, et un peu plus largement, pour une partie des sociétés que nous rencontrons, et que nous allons être amenés à aider à se développer, par la mise en place de relations de partenariat, avec les industriels qui composent et sponsorisent nos fonds. De manière plus spécifique pour les sociétés de notre portefeuille, nous avons une démarche très engagée de business-développement, par la génération d’opportunités de partenariats, de coopération technique, et de génération d’activité. Notre démarche vise à les aider à se déployer géographiquement, ainsi que par la mise en place de chaines de valeurs, que nous maitrisons dans l’énergie et l’environnement.
Aster Capital intervient aussi bien en amorçage que dans des sociétés un peu plus matures. Notre démarche est de se positionner sur les sociétés quand cela nous apparait opportun. Parfois c’est le cas pour des sociétés en amorçage, ou un peu plus tard quand la société a connu un certain développement, et se trouve en demande de capitaux pour sa croissance.
Un projet de start-up, c’est avant tout des ressources humaines, ce sont les personnes qui apportent le projet qui feront la différence. Quelque soit le marché, le segment, l’offre, ce sont vraiment les femmes et les hommes qui feront les succès. Le facteur humain est le facteur essentiel de la réussite.
Dans un futur très proche, nous allons probablement annoncer plusieurs créations de nouveaux fonds, ainsi que le lancement d’activités géographiques, et des sorties intéressantes de quelques sociétés de notre portefeuille.
Didier Poli