Environ 30% des patients répondent favorablement aux traitements avec les inhibiteurs de checkpoint, il reste 70% de patients en échec thérapeutique, la technologie de notre société ambitionne de sensibiliser leur système immunitaire, qui sera alors en mesure de répondre positivement, en association ou non avec les inhibiteurs de checkpoint.
Notre technologie est bien sur brevetée, ce brevet est issu de recherches académiques en sciences fondamentales. Le brevet est détenu par l’Institut Curie, l’INSERN et l’Université d’Oxford. Notre société possède une licence exclusive pour développer et commercialiser cette classe de médicaments.
Notre société est un spin-off de l’Institut Curie, qui nous aide à démarrer cette aventure. Actuellement nous cherchons des partenaires financiers qui seront en mesure de nous aider à financer les phases de développement de cette classe de médicaments.
Nos besoins en financement se situent autour de 5 millions d’euros, pour atteindre le stade où nous aurons démontré l’efficacité en pré-clinique. Nous sommes également en recherche d’un partenaire industriel, qui serait capable de fabriquer notre médicament et d’en contrôler la qualité.
Le marché que nous visons est bien sur mondial, en commençant par les États-Unis, et bien sur l’Europe, l’immunothérapie en oncologie est en pleine révolution, à tel point que beaucoup de spécialistes pensent que cela va devenir demain le « standard of care » de la thérapie en cancérologie.
Didier Poli